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Le Premier ministre canadien Justin Trudeau écoute des joueurs de tambour indigènes lors de l'accueil du pape François au Canada, le 24 juillet 2022, à Edmonton (Canada).Cole Burston/Getty Images

Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.

OTTAWA, Ontario (LifeSiteNews) -- Le principal groupe pro-vie du Canada critique vivement le Premier ministre Justin Trudeau pour avoir à nouveau défendu l'avortement à l'occasion de la "Journée internationale de l'avortement sans risque", dont le nom relève de l'oxymore.

Le 28 septembre, M. Trudeau, un catholique baptisé, a mis en place un programme d'aide à l'emploi. faire une déclaration célébrant la "Journée internationale de l'avortement sans risque", proclamant son soutien indéfectible à l'avortement et celui de son parti libéral. 

"Notre gouvernement est fièrement pro-choix et le sera toujours. C'est pourquoi nous prenons des mesures pour étendre les soins de santé sexuelle et reproductive (SSR) à l'ensemble du pays", a déclaré M. Trudeau.

"En cette Journée internationale de l'avortement sans risque, nous réaffirmons sans équivoque le droit de chaque femme à prendre des décisions concernant son corps, sa vie et son avenir", a-t-il ajouté, reprenant le langage typique des partisans de l'avortement, qui présentent le meurtre d'enfants à naître comme un "droit de la femme" concernant "son corps".

Campaign Life Coalition (CLC) a réagi en reprochant à M. Trudeau de se vanter du travail qu'il a accompli pour promouvoir l'assassinat d'enfants à naître. 

M. Trudeau s'est vanté, à l'occasion de la "Journée internationale de l'avortement médicalisé" (28 septembre), de tout ce qu'il a fait pour promouvoir le meurtre des enfants à naître, tant dans son pays qu'à l'étranger. #cdnpoli," a écrit Pete Baklinski, directeur de la communication du CTC, en réponse au message de Trudeau sur l'avortement.  

Tout d'abord, il n'existe pas d'avortement "sûr". C'est un mensonge. Le seul but de l'avortement est de tuer un être humain avant sa naissance. La procédure a échoué si elle n'aboutit pas à la mort du bébé. L'avortement n'est jamais sans danger pour l'enfant à naître", a-t-il écrit. 

Baklinski a fait remarquer que l'avortement n'est "pas sûr pour la mère non plus", car les avortements chirurgicaux et chimiques "nuisent aux femmes à de nombreux niveaux, y compris physiquement, émotionnellement, psychologiquement et spirituellement". 

"L'avortement n'est sûr pour personne", a-t-il fait remarquer.  

Dans son message, M. Trudeau a proclamé que lui et son gouvernement "se battront - bec et ongles - pour protéger le droit des femmes à choisir" de tuer leurs enfants à naître, qualifiant l'avortement de "soins de santé".

"La planification familiale est un soin de santé. C'est aussi simple que cela". a affirmé le premier ministre. 

M. Baklinski a fait remarquer que le fait que M. Trudeau qualifie l'avortement de "soins de santé" n'est pas du tout exact, car "la grossesse n'est pas une maladie". 

"Les soins de santé sont la fourniture organisée de soins médicaux aux personnes afin qu'elles puissent maintenir ou améliorer leur santé par la prévention, le diagnostic et le traitement des maladies, des affections ou des blessures. La grossesse n'est pas une maladie, une affection ou une blessure. Mettre fin à une grossesse en tuant le bébé n'est en aucun cas un soin de santé", a-t-il écrit.  

"Cela n'a rien à voir avec la santé et tout à voir avec la mort.  

LifeSiteNews récemment a indiqué comment Le CTC a rappelé à la députée libérale pro-avortement Soraya Martinez Ferrada qu'il n'existe pas de "droit" officiel à l'avortement dans le pays, un fait souvent ignoré ou méconnu par la plupart des Canadiens. 

En fait, aucune loi ne régit l'avortement au Canada, ce qui signifie que la procédure mortelle est autorisée pendant les neuf mois de la grossesse. En même temps, ce vide juridique signifie que rien n'empêche les politiciens d'imposer des restrictions à cette sinistre pratique.

Quant à Trudeau, ilaa longtemps professé sonsoutien à l'avortementbien qu'il ait été baptisé catholique. Depuis son arrivée au pouvoir en 2015, son gouvernement libéral a défendu des politiques en faveur de l'avortement, telles que la suppression du droit à l'avortement.centres de ressources pour la grossessede leur statut d'association caritative.

Selon le CLC, l'avortement a tuéplus de quatre millions de bébés à naîtreau Canada depuis sa légalisation en 1969, ce qui équivaut à peu près à la population de l'Alberta.